> Question écrite à la Commission européenne La pandémie de la COVID-19 et les mesures strictes de confinement ont particulièrement affecté les personnes atteintes de trisomie 21, également nommée syndrome de Down, en raison de leur dépendance aux contacts humains et des obstacles liés aux informations de prévention. La journée mondiale de la trisomie 21, le 21 mars 2021, nous rappelle qu’il existe encore de nombreuses discriminations liées à cette condition génétique et que des dispositifs supplémentaires permettant une nette amélioration de la qualité de vie et de l‘inclusion dans la société des personnes qui en sont atteintes doivent être mis en place. Les personnes vivant avec ce syndrome doivent avoir accès à des contrôles médicaux et à des soins réguliers, à des contacts fréquents avec des professionnels de santé ainsi qu’à un système de soutien adéquat. Au vu de la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, de la convention des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées et du socle européen des droits sociaux, la Commission européenne a-t-elle l’intention d’allouer des fonds supplémentaires à la recherche sur les effets à long terme de la COVID-19 sur les personnes atteintes du syndrome de Down, notamment dans le cadre d’Horizon Europe et du programme EU4Health? |